Nos fêtes patronales sont avant tout des moments de retrouvailles, de convivialité. Depuis deux ans, ces moments nous manquent cruellement. Et, aujourd’hui, encore plus que l’an dernier, nous aurions tous souhaité pouvoir nous retrouver.

Ce n’est que partie remise. Les restrictions ne doivent pas nous priver de l’essentiel : la convivialité depuis deux ans, nous la réinventons constamment ; nous savourons les relations avec les collègues qu’elles soient réelles ou virtuelles. 

Conservons l’espoir de jours meilleurs et préservons (même reportée) la tradition ! 

Belles fêtes à chacun d’entre vous !